La déferlante


Depuis la nuit, le noyé impatient se mêle au rouge sang
Le long du mur, les particulent diffusent toute la haine du monde
L'égoïsme supprime l'amour naissant, écumant son travail d'un cadre blanc

Léon, Léon...
Errant dans l'encre noire et froide

Vomir le bois dont nous nous sommes chauffés
Envahir encore et encore
Tu croupis d'horreur sur un tas de fumier
Te voilà seul
Te voilà seule
Humain, unique

C'est comme une vague éternelle qui revient
Veille à la somme en rajoutant un point.


irOise 2011

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