Mûri dans le secret
Créé dans le silence
L'enfantement inconscient
Délivrée de ses sentiments
L'accouchement de sa propre naissance
Accueillir sa nouvelle vie avec toutes ses souffrances
Oeuvre de mère, faire preuve de soins
Oeuvre de mère, faire preuve de patience
Un fruit dans le ventre
De la vie dans les seins
Créé dans le silence
L'enfantement inconscient
Délivrée de ses sentiments
L'accouchement de sa propre naissance
Accueillir sa nouvelle vie avec toutes ses souffrances
Oeuvre de mère, faire preuve de soins
Oeuvre de mère, faire preuve de patience
Un fruit dans le ventre
De la vie dans les seins
Un homme des grands fonds, j’ai un jour rencontré
Amoureux de l’image, un dessin échangé
Prête-moi donc ton corps, je m’en vais l’esquisser
Te remercier d’une belle, dans tes bras rajouter
Amoureux de l’image, un dessin échangé
Prête-moi donc ton corps, je m’en vais l’esquisser
Te remercier d’une belle, dans tes bras rajouter
...Et glisse le fusain, quelques traits appliqués
Belles courbes de légende, sur le vélin couché
Éraflures des pastels sur ses jambes voilées
Tel un Betta Splendens, combattant assoiffé
Antinéa, Antinéa...
Homme des grands fonds, touche à présent le derme
Laisse là tes bouteilles et masque de plongée
Aux oreilles nautiles d’habitudes réservées
Ecoute le temps d’un chant, laisse-la t’emporter
Antinéa, Antinéa...
Explore cet espace vierge, ce jardin exquis
Ses cheveux rouge indien fait d’ocres mélangés
Aborde ainsi cette île aux nageoires déliées
Sans mystère, pour une fois, un moment alloué
Antinéa, Antinéa...
Cascade des grands fonds, tu goûteras cette fois
Et de cette unique nuit, jamais plus n’aura froid
En ce jardin mythique, plonge-toi sans remord
Il est en cet instant l’océanique trésor
Antinéa, Antinéa...
Sur la toile à présent vos deux corps sont rivés
Evoquant ces deux êtres tout prêt à fusionner
Ce n’est qu’une onde charnelle, une vague enjouée
Obsédant et sensuel, un parfum inhalé
Antinéa, Antinéa...
Je passe ainsi mes doigts, ces deux corps effleurés
Rajoute quelques traits, quelques ombres posées
Je scelle une fois pour toute une passion consommée
Signe en bas du vélin, sur la toile de papier
Antinéa, Antinéa...
En rêve elle restera, dans ta tête, en pensée
Antinéa la belle, au dos nu dévoilé
Mais au mur à présent tu pourras l’accrocher
Un moment de pastel, un jour j’ai évoqué
Antinéa, Antinéa...
Belles courbes de légende, sur le vélin couché
Éraflures des pastels sur ses jambes voilées
Tel un Betta Splendens, combattant assoiffé
Antinéa, Antinéa...
Homme des grands fonds, touche à présent le derme
Laisse là tes bouteilles et masque de plongée
Aux oreilles nautiles d’habitudes réservées
Ecoute le temps d’un chant, laisse-la t’emporter
Antinéa, Antinéa...
Explore cet espace vierge, ce jardin exquis
Ses cheveux rouge indien fait d’ocres mélangés
Aborde ainsi cette île aux nageoires déliées
Sans mystère, pour une fois, un moment alloué
Antinéa, Antinéa...
Cascade des grands fonds, tu goûteras cette fois
Et de cette unique nuit, jamais plus n’aura froid
En ce jardin mythique, plonge-toi sans remord
Il est en cet instant l’océanique trésor
Antinéa, Antinéa...
Sur la toile à présent vos deux corps sont rivés
Evoquant ces deux êtres tout prêt à fusionner
Ce n’est qu’une onde charnelle, une vague enjouée
Obsédant et sensuel, un parfum inhalé
Antinéa, Antinéa...
Je passe ainsi mes doigts, ces deux corps effleurés
Rajoute quelques traits, quelques ombres posées
Je scelle une fois pour toute une passion consommée
Signe en bas du vélin, sur la toile de papier
Antinéa, Antinéa...
En rêve elle restera, dans ta tête, en pensée
Antinéa la belle, au dos nu dévoilé
Mais au mur à présent tu pourras l’accrocher
Un moment de pastel, un jour j’ai évoqué
Antinéa, Antinéa...
Edité le 8/08/2006
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